Un phrasé inimitable, une mauvaise foi indéboulonnable, le regard qui frise, et une façon unique de sortir les plus grosses horreurs sans que l’on puisse lui en vouloir... En quelques années, Olivier de Benoist a su imposer son style sur scène et dans le PAF.

 

On ne l’imaginait pas faire carrière sur les planches le petit Olivier, même s’il a toujours été le rigolo de service... Né « Olivier Marie Emmanuel de Benoist de Gentissart» en Champagne dans une famille de 7 enfants, il a reçu une éducation stricte et religieuse. S’ensuivent de brillantes études de droit à Paris. Mais sa passion pour la magie et la comédie occupe tout son temps libre. En parallèle de son Droit, il intègre le Studio Pygmalion puis enchaine les castings...

 

De pubs en pubs (Knorr, Téva…), Olivier décide de s’offrir un rôle en or en produisant son 1er spectacle, la pièce de Benoit Poelvoorde Modèle déposé. Un joli petit succès qui le convainc de poursuivre sur la voie de l’humour. Il écrit en 2003 sa première pièce Né Sous X, puis une parodie des émissions de télé réalité Loft Sorry en 2004.

 

Il s’attèle en 2005 à l’écriture de son one-man-show Haut Débit, qui devient Très Haut Débit en 2006, suivi de Très Très Haut Débit en 2008. Du Petit Palais des Glaces au Point Virgule, en passant par Les Blancs Manteaux, Olivier connait un succès grandissant, fort d’un bouche à oreille gratifiant, et servi par une présence cathodique remarquée dans l’émission de Laurent Ruquier On n’demande qu’à en rire sur France 2. Premier humoriste à passer dans l’émission le 6 septembre 2010, recordman de passages (50) dans la saison 1, collectionnant les passages cultes en solo ou en duo avec Kev Adams, chacune de ses apparitions déclenche l’hilarité générale.

 

Bien entendu, Olivier continue de se produire sur scène avec Très Très Haut Débit qui cartonne plus que jamais : après le Point Virgule, L’Européen, 25 Cigale, 2 Olympia complets, et une grande tournée... Soit plus de 600 représentations !

 

En novembre 2013, Olivier présente son nouveau spectacle Fournisseur d’Excès : 45 Cigale, 32 Bouffes Parisiens, une tournée triomphante et plus de 220 000 spectateurs séduits en 2 ans... Puis un spectacle inédit au Cirque d’Hiver pour la Journée de la femme le 8 mars 2015, qu’il définit comme “le jour le plus long”.

 

Olivier de Benoist ne se résume pas à ses one-man-shows ni à ses performances dans On n’demande qu’à en rire. On l’a entendu à la radio (billets d’humeur sur Europe 1 en 2011, sociétaire aux Grosses Têtes sur RTL de 2015 à 2016)... Vu à la télé en tant que comédien dans le Téléfilm de France 3 Carmen (2010) et la série de TF1 Candice Renoir (2016) ;  lui-même dans le clip Des Ricochets aux côtés de  60 chanteurs pour l’Unicef (2011) ; et plus que jamais mauvaise-langue via ses interventions dans Vivement Dimanche Prochain sur France 2...

 

2016. 0/40, nouveau spectacle coécrit avec un nouveau co-auteur Pierre-Marie Debrie, de nouveaux boucs-émissaires (les femmes et les belles-mères vont pouvoir souffler un peu), et un humour plus grinçant que jamais ! Après 5 mois joués à guichets fermés au Café de la Gare, 3 représentations exceptionnelles et complètes aux Folies Bergère, 100 000 spectateurs conquis, Olivier de Benoist continue sa tournée triomphale jusqu’à fin 2018.

 

2016 toujours, Olivier est repéré par Christian Carrion qui lui offre son 1er rôle au CINEMA. Il tourne dans le film « Mon garçon » aux côté de Guillaume Canet et Mélanie laurent .Totale surprise du film, l’humoriste y révèle toute sa subtilité d’acteur dramatique. Le film sortira le 20 septembre 2017

 

À chaque fois qu’Olivier de Benoist a un enfant, il fait un one-man-show. Comme il en a eu un quatrième, il revient en 2019 avec un nouveau spectacle "Le Petit Dernier" Après avoir beaucoup parlé de sa belle-mère et de sa femme dans ses précédents, Olivier de Benoist a décidé de se fâcher avec les seuls membres de sa famille qui le supportaient encore : ses enfants.

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En 2024, il sera à nouveau sur scène avec son dernier spectacle "Le Droit au Bonheur"